Superatis Tauri montis verticibus qui ad solis ortum sublimius attolluntur, Cilicia spatiis porrigitur late distentis dives bonis omnibus terra, eiusque lateri dextro adnexa Isauria, pari sorte uberi palmite viget et frugibus minutis, quam mediam navigabile flumen Calycadnus interscindit.
Isdem diebus Apollinaris Domitiani gener, paulo ante agens palatii Caesaris curam, ad Mesopotamiam missus a socero per militares numeros immodice scrutabatur, an quaedam altiora meditantis iam Galli secreta susceperint scripta, qui conpertis Antiochiae gestis per minorem Armeniam lapsus Constantinopolim petit exindeque per protectores retractus artissime tenebatur.
Orientis vero limes in longum protentus et rectum ab Euphratis fluminis ripis ad usque supercilia porrigitur Nili, laeva Saracenis conterminans gentibus, dextra pelagi fragoribus patens, quam plagam Nicator Seleucus occupatam auxit magnum in modum, cum post Alexandri Macedonis obitum successorio iure teneret regna Persidis, efficaciae inpetrabilis rex, ut indicat cognomentum.
Chaque année près de 3 500 Français perdent la vie dans les seuls accidents de la route. Qu’il s’agisse de voiture, d’avion, de train ou de bateau, aujourd’hui, le risque zéro n’existe pas ! Mais demain ? En effet, pierre angulaire des innovations technologiques en matière de transport, la recherche de la sécurité maximale conditionne actuellement l’industrialisation de tout projet. Plus encore, leur autonomie se veut une priorité absolue. Et non sans raison, puisqu’on estime à 500 000 le nombre de vies pouvant être sauvées chaque année, grâce aux voitures autonomes !
Une évolution qui replace donc au centre de toutes les réflexions le 1er facteur de risque identifié : l’humain. Doit-il s’effacer au profit de la machine ? Doit-il la suppléer en cas de carence et uniquement dans ce cas ? Ou doit-il davantage être éduqué aux dangers de son environnement en constante évolution ?... Associer nouveaux transports, nouveaux usages, nouveaux environnements et nouveaux comportements : ne serait-ce pas là, finalement, le véritable moteur de la mobilité de demain ?
La loi : le contrat de travail peut prévoir une clause de mobilité fixant les modalités d’une éventuelle modification du lieu de travail du salarié. Comme toute clause du contrat de travail, elle est soumise au droit commun et doit être mise en œuvre de bonne foi (articles L 1221-1 et L 1222-1 du code du travail et 1134 du code civil).
La jurisprudence : les juges ont défini les conditions de validité de la clause de mobilité ainsi que les conditions de sa mise en œuvre. Ils sanctionnent au cas par cas les licenciements, fondés sur le refus du salarié, qui ne respectent pas ces règles.
Sur le marché du covoiturage de proximité, la bataille fait rage. Alors que Blablacar vient d’annoncer le lancement en Ile-de-France de sa plateforme BlaBlaLines, la SNCF dégaine à son tour un nouveau service pour les trajets domicile-travail. Ou plutôt l’améliore car l’entreprise était déjà présente sur ce marché via sa filiale IDVroom, lancée en septembre 2014.
Avec son offre Pop & Vroom, expérimentée depuis un an sur les tronçons reliant Bourgoin-Jallieu à Lyon et Dunkerque à Lille, la SNCF développe des lignes de covoiturage, à l’instar des lignes de bus ou de train empruntées chaque jour pour des trajets domicile-travail.
Des points de rencontre établis sur le trajet
Ce mercredi, Rennes sera l’une des premières villes françaises à tester cette offre avec quatre lignes convergeant vers la capitale bretonne qui seront lancées (Nantes/Rennes, Laval/Rennes, Saint-Malo/Rennes et Retiers/Rennes). « Nous avons ciblé des lignes où le flux de trajets domicile-travail est très important et le trafic autoroutier très dense. Cela doit inciter les « autosolistes » à devenir des covoitureurs », indique Frédérique Ville, directrice générale d’IDVroom.
Sur ces lignes, élaborées en accord avec les collectivités, des points de rendez-vous préétablis ont été fixés dans les différentes communes traversées afin de faciliter la pratique du covoiturage.Une fois l’application téléchargée, l’utilisateur peut voir en temps réel toutes les offres proposées sur le trajet de son choix, avec la possibilité de le payer soit en liquide ou par carte bancaire. Dans ce cas, la SNCF percevra une commission correspondant à 7 % du prix du trajet. Et en cas de plantage ou d’empêchement de dernière minute de son covoitureur, l’usager pourra bénéficier d’un retour en taxi, pris en charge par IDVroom.